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L’obésité, maladie du siècle
Ni une faute, ni une fatalité !

« Que nous soyons soignants ou non, nous sommes presque tous persuadés que l’alimentation et l’absence de volonté sont les causes essentielles de l’obésité. Préjugé dangereux et discriminant ! Depuis 2009, comme chirurgien, je prends en charge des patients souffrant d’une maladie toujours pas reconnue. Et j’assiste, effaré, à un retour en arrière lié au développement d’une phobie de la chirurgie et à la grossophobie.
Nous devons considérer l’obésité comme la maladie du siècle. La considérer, c’est la reconnaître pour la dépister et la traiter efficacement sans culpabilisation.
J’aimerais que ce manifeste change les regards et permette de mieux lutter contre cette pandémie qui met en jeu l’espérance de vie des humains. »
Dr Guillaume Pourcher 

En France, le taux d’obésité pourrait atteindre 25 % d’ici 2030. Mais pour le docteur Guillaume Pourcher, l’obésité n’est ni une faute ni une fatalité.

Militant pour un recours plus fréquent à la chirurgie, il nous met en garde contre la nocivité de certains régimes alimentaires et nous appelle à résister à la sédentarité contemporaine.

Un plaidoyer indispensable pour en finir avec la stigmatisation et traiter réellement cette maladie des temps modernes.

Avec les témoignages inédits de patients, parmi lesquels Firmine Richard, comédienne, et Fred Lecanu, ancien champion de judo.

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« Le 13 novembre 2015 ne fut au final qu’un jour dans notre vie. Un seul jour qui a déformé l’existence d’une personne, d’une famille, d’un groupe d’amis, d’une ville, d’un pays. »
Un seul événement peut-il déterminer toute notre existence ? Peut-on poursuivre après l’horreur ? Cette nuit-là, David est confronté à sa mort.
Alors que l’enquête judiciaire s’achève et que le procès devrait s’ouvrir en 2021, le jeune homme revient sur ces cinq dernières années, la difficulté de se reconstruire, la force de vivre.

 

1996. Johanna Dray est repérée un matin dans le métro par un photographe qui lui présente Gilles Lévy, directeur de Giani Forté. L'homme l'observe puis lui dit : "Vous êtes très belle, mais je crois que vous êtes un peu trop mince pour devenir notre égérie." Celle qui affiche alors fièrement une taille 44 pour 1,80 mètre n'en croit pas ses oreilles. Ce premier rendez-vous marquera néanmoins le début d'une grande histoire. De Giani Forté au défilé Galliano en passant par Elle ou encore Vogue, Johanna exerce comme mannequin depuis maintenant plus de vingt ans. Elle veut montrer aux femmes qu'elles ont le droit d'être elles-mêmes et qu'il est important qu'elles s'acceptent telles qu'elles sont. De sa jeunesse où son physique la complexait à son combat contre le cancer ou son quotidien de jeune maman, l'histoire de Johanna prouve que la beauté n'est ni unique ni universelle.

 

"Pour l’état civil, j’ai bientôt quatre-vingt-douze ans, pourtant, je me sens une jeune femme de tout juste quarante ans, simplement parce que j’ai passé cinquante ans à ne pas vivre. 
Découvrir la méthode Vittoz m’a fait renaître et guérir de toutes mes anciennes blessures. Elle m’a permis d’être, non seulement en paix, en harmonie avec moi-même, mais aussi de me sentir à ma place sur cette terre. Une technique avant-gardiste et essentielle aujourd’hui pour trouver – ou retrouver – ce qui nous manque le plus dans notre société : le calme et la concentration. 
En devenant à mon tour praticienne, j’ai pu aider un grand nombre de gens et transmettre le bien-être que j’avais acquis.
Par le récit de mon expérience, j’espère vous faire découvrir tous les bienfaits que la méthode Vittoz pourrait vous apporter."